mercredi 20 février 2013

Trafic d'ovocytes en Roumanie et loi du silence en France


La presse française en parle, mais il faut aller voir dans la presse féminine ou en Belgique voire même en Angleterre pour avoir en français des informations où le rôle de ressortissants sionistes dans un trafic d'ovocytes est cité autrement qu' en passant. Je parle bien des trafiquants, pas des femmes receveuses/clientes venues elles aussi de l'entité sioniste.

Une discrétion quand même bizarre pour une information susceptible d'alimenter le débat français sur la gestation pour autrui et autres techniques utiles aux couples stériles ou... homosexuels.

Peut-être n'est-ce pas de bon ton au moment où on nous annonce une "explosion" des actes antisémites en France, + 58 % en 2012 nous dit le Service de protection de la communauté juive (SPCJ, puisque ce n'est pas la police nationale qui est chargée de protéger les Juifs elle le fait pour le reste des citoyens).

Mais un certain ministre,  Manuel Valls pour être précis, ne nous a-t-il pas annoncé qu'il y avait des dizaines de Mohamed Merah potentiels en France ?

A ce ministre, on se permettra de demander combien il y a de Ben Zygier en France et combien de volontaires pour servir dans les troupes d'occupation sionistes?

par Maxime de Valensart, 7/7 (Belgique) 19 février 2012
Un réseau roumano-israélien de trafic d'ovocytes a été démantelé mardi en Roumanie, a annoncé le parquet spécialisé dans la lutte contre le crime organisé (DIICOT).
 
Les 11 membres de ce groupe --des représentants d'une clinique privée de Bucarest et des ressortissants israéliens "spécialistes des techniques de procréation assistée"-- ont "racolé des femmes" qui, en échange d'un montant de 600 à 800 euros, ont accepté qu'on leur prélève des ovocytes, ont indiqué le parquet et la police nationale.
La plupart de ces femmes étaient des étudiantes en situation précaire âgées de 18 à 30 ans et habitant en province.
"Leurs ovocytes ont été vendus par la suite entre 3.000 et 4.000 euros à des couples qui utilisaient les services de fertilisation in vitro de cette clinique", a précisé la police.
La majorité des couples bénéficiaires habitaient Israël et venaient en Roumanie pour les procédures d'insémination.
Selon la police, le réseau était composé notamment "de médecins, d'infirmières et de spécialistes en reproduction assistée". Ils sont accusés d'avoir violé "la loi sur le prélèvement et la transplantation" de cellules humaines en organisant ce trafic.
La Roumanie avait déjà été le théâtre d'un scandale similaire en 2009, lorsque les autorités avaient découvert à Bucarest une autre clinique se livrant à un trafic d'ovules.
Quatre médecins israéliens ont été condamnés en 2012 à cinq ans de prison ferme chacun par un tribunal de Bucarest pour trafic d'ovules.
Trois Roumains dont un ancien président de l'Agence nationale pour les transplantations avaient également été condamnés.

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