vendredi 7 août 2009

Sionisme appliqué. Leçon N°1: comment tuer un journal trop libre.

Ce post traite aussi à sa manière de ce qui vient d’arriver au site web La banlieue s’exprime devenu inaccessible suite à des pressions sionistes sur l’hébergeur.
Aux Etats Unis, il existe des journaux gratuits, hebdomadaires, mensuels et peut-être quotidiens allez savoir.
La belle affaire, me direz-vous : en France aussi nous avons des journaux gratuits comme 20 minutes ou Métro par exemple.
Oui, mais le mot qui correspond à gratuit aux Etats Unis est le mot « free » qui veut dire aussi en anglais «libre.» C’est plus qu’une nuance.
Ces journaux n’ont rien de marginal et sont souvent ancrés dans une réalité locale, universitaire, citadine ou rurale. Ils représentent dans certains cas de véritables contrepoids, certes insuffisants, face aux poids lourds de la presse aux Etats Unis.

C’est un de ces journaux « free » qui me donne l’occasion de vous offrir une véritable leçon de sionisme appliqué, où comment tuer un journal parce qu’il ne se contente pas, au choix, de verser dans l’éloge de l’entité sioniste ou de se contenter de parler des chiens écrasés ou de proposer des recettes de cuisine.
La méthode est exposée dans le détail ; elle ne s’embarrasse pas de considérations juridiques sur la liberté d’expression, elle essaye seulement de ne pas rater et de tuer coup sûr.
Elle exige du praticien du culot et un entregent non négligeable car, comme on le comprend en lisant attentivement, ce n’est pas seulement le média condamné par les sionistes qui est visé mais également ceux qui ont des relations avec lui, annonceurs ou points de distribution.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase sioniste a été la publication d’un article d’Israël Shamir, l’ex militaire sioniste devenu un antisioniste virulent. Certes Shamir tend à verser dans l’imagerie antisémite mais il le fait justement parce qu’il est d’origine juive (je crois qu’il a abandonné le judaïsme pour aller vers le christianisme orthodoxe).
La façon qu’a Shamir de parler des juifs m’a rappelé un souvenir de lycée. En terminale, j’avais lu plusieurs ouvrages de Karl Marx et j’avais été frappé par le mépris fréquent que manifestait Karl Marx envers l’esprit allemand. J’avais donc entrepris d’interroger mon professeur de philosophie à ce sujet et voici quelle fut sa réponse (bénie soit votre sagesse Patrick V., je vous dois beaucoup) : «Sûrement parce que c’est le peuple qu’il connaît le mieux.»
Je pense que c’est ainsi que s’explique en partie (il y aussi des causes purement politiques) la hargne de Shamir envers les Juifs, simplement parce que c’est le groupe religieux ou national (les Ashkénazes) qu’il connaît le mieux pour en faire ou en avoir fait partie.

Vous me direz : on a la même chose en France avec ce qui vient de se passer avec le site La banlieue s’exprime animé par Ahmed Moualek.
J’en conviens tout à fait, sauf que dans l’affaire La banlieue s’exprime qui est un site qui ne dépend pas de recettes publicitaires, la pression sioniste a tapé d’une manière qui serait impossible aux Etats Unis sauf à être frappé par le Patriot Act.

Le lobby sioniste a donc une longueur d’avance en France par rapport aux USA.

Un traitement pro-palestinien de l’information met le Post au fond du trou
Par Lander Burr, Point Reyes Light (USA) 30 juillet 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri

En mai 2008, le Coastal Post, un mensuel gratuit de Bolinas, avait publié un article qui qualifiait les Juifs exerçant dans les médiats «d’exécuteurs volontaires de nos libertés.» L’article intitulé Carter et le nid de guêpes - le défi à la colère du lobby juif, avait causé un tollé. Don Deane, le directeur de la publication du Coastal Post avait été traité d’antisémite et le journal avait perdu 30 annonceurs après que des tracts et des campagnes de lettres avaient incité au boycott du journal. La controverse a soulevé des questions sur ce que signifie être antisémite et comment répondre à des contenus déplaisants. Dans son combat pour continuer à paraître, Dean a sollicité l’aide de l’organisme à but non lucratif Project Censored pour savoir si le Coastal Post figurait parmi un ensemble plus vaste de publications menacées pour leur couverture du conflit israélo-palestinien.

Accroître la couverture informative

En 2006, Deane avait décidé de combattre ce qu’il voyait comme un biais pro-israélien dans la couverture médiatique de le crise du Moyen-Orient.« Il est certain que le journal a traité ce dossier assez régulièrement depuis deux ou trois ans, » déclare Deane, 66 ans, un ancien de la protection judiciaire de la jeunesse qui possède le Smiley’s Saloon à Bolinas. Et si une tendance a contribué au ton des articles, ce serait celle qui consiste à avoir de la sympathie pour les civils et contre les violations des droits de l’homme qui ont été perpétrés par les autorités israéliennes.»
Cette évolution a incité certains lecteurs à se plaindre que les articles du journal étaient radicalement pro-palestiniens et même antisémites. Des exemplaires du Coastal Post avaient été volés sur les présentoirs et des courriers expédiés aux annonceurs pour les prier instamment de cesser leurs relations commerciales avec la publication.
Même si Deane signale que seulement 10 % des articles et éditoriaux du Coastal Post se rapportent à la politique proche-orientale, certains lecteurs trouvent cette couverture excessive.
«C’est un bourdonnement persistant à l’oreille,» explique Suzan Berns, directrice régionale pour North Bay du Jewish Community Relations Council. « C’est comme si il y avait une insistance exagérée sur Israël dans un journal local.»
Carter et le nid de guêpes

En mai 2008, Deane avait publié Carter and the Swarm. L’article, rédigé par Israel Shamir, né en Sibérie, qui condamnait la critique par les Juifs du livre de Jimmy Carter paru en 2006 qui soutenait que le contrôle israélien sur la Palestine faisait obstacle à un accord de paix.
Des lecteurs avaient été outrés par ce texte qui, à un moment, compare les Juifs à des moustiques suceurs de sang qui s’attaquent à carter.
Jonathan Bernstein, directeur régional de l’Anti Defamation League, considère que Shamir s’est discrédité lui-même en faisant référence à des stéréotypes sur les Juifs comme l’obsession pour l’argent, l’égoïsme et un contrôle excessif sur le gouvernement.
« En le lisant superficiellement, on pourrait prétendre que Shamir tente d’affirmer que des Juifs «très puissants» essaient de faire taire quiconque est en désaccord avec eux au sujet d’Israël, » avait écrit Bernstein dans une lettre à Deane. «Même si c’était ce qu’il voulait dire, nous ne comprenons pas pourquoi il recourt à des images et à des mensonges nocifs sur le peuple juif. En conséquence, nous avons lieu de nous demander si la promotion de ce genre de stéréotypes et l’encouragement à l’hostilité [bigotry] envers les Juifs n’est pas son objectif.»
Les retombées

Après l’édition de mai, les vols d’exemplaires du journal se sont intensifiés. Craig Slater, le distributeur du Coastal Post, indique que des lots ont été dérobés dans environ 20 emplacements. Des milliers d’exemplaires ont disparu rien que dans un magasin d’alimentation à Fairfax.
En juillet 2008, le Dr Michael Frauzblau, un habitant de West marin, s’était rendu devant le conseil municipal de San Rafael et avait plaidé en vain le retrait du Coastal Times de l’Hôtel de ville. Frautzblau qualifiait la ligne éditoriale du journal d’antisioniste et d’antisémite.
Dans le N° du Coastal Post de novembre 2008, le Dr Edward W. Miller, un chroniqueur qui écrit régulièrement sue le conflit israélo-palestinien, avait évoqué les malheurs du journal. Le Coastal Post a perdu un tiers de ses annonceurs et de 10 à 12 de ses points de distribution suite à des appels et à des courriers de personnes écrivant aux annonceurs pour qu’ils cessent de placer des annonces publicitaires. Whole Foods à Mill Valley a retiré le numéro de mai en raison de protestations de consommateurs. Un des portes parole de l’entreprise a indiqué qu’actuellement qu'elle ne proposait plus le Coastal Post.

La montée des pertes publicitaires a provoqué une crise financière fin 2008. Dans une année typique, les dépenses du journal s’élevaient à environ 20 000 dollars. Deane estime que le journal a perdu au moins 14 000 dollars en revenus publicitaires.
«Perdre la publicité nous a vraiment mis au fond du trou, » dit-il.En réaction aux énormes difficultés du Coastal Post, des habitants du secteur ont organisé une campagne de lettres pour «Sauver le Coastal Post.» L’organisation de campagne comprend des membres de la Marine Peace and Justice Coalition, quatorze membres de Friends of Palestine et l’American Civil Liberties Union. La lettre inclut un formulaire de souscription et invite les gens à placer des annonces dans le journal et à trouver de nouveaux points de distribution.»
Même si la campagne de souscription a bien marché, Deane a été contraint de réduire ses coûts. Il n’envoie plus de numéros dans les boîtes à lettres de Bolinas. Les libraires de Bolinas et Stinson Beach ou Point Reyes Station disent ne plus recevoir le journal. Dean a essayé de s’adapter aux incertitudes financières du journal et accepte de ne l’imprimer que quand il a suffisamment d’argent. Jusqu’ici, le journal a continué à paraître chaque mois.
Antisémitisme

Dean comme le Coastal Post ont été déclarés antisionistes et antisémites à la fois, ce qui soulève des questions sur la différence entre ces termes et sur le fait de savoir si le journal et son éditeur méritent l’une et l’autre étiquettes.
«Je pense que ce qui peut intéresser les gens, c’est de savoir quand quelqu’un a franchi la limite entre la critique légitime d’Israël et la promotion de l’antisémitisme, » explique Bernstein.
Bernstein constate que les progressistes hésitent souvent à séparer l’antisionisme de l’antisémitisme. «Dans la zone de la baie (Bay Area), de nombreux leaders progressistes ne sont pas assez prompts à donner de la voix contre l’antisémitisme quand ils l’observent, » dit-il. «Ils ont peur qu’on les voie comme soutenant Israël. Ce qui leur a interdit d’être des leaders progressistes responsables.»

« L’antisémitisme n’a absolument rien à voir avec la critique d’Israël, même les critiques d’Israël les plus virulentes,» affirme Joel Beinin, professeur d’histoire du Moyen-Orient à l’université de Stanford. « l’antisémitisme est hostile aux Juifs en tant que peuple. C’est une condamnation générale [des Juifs] ».

En février 2009, Deane avait écrit des excuses pour le texte de Shamir, admettant que le texte ne faisait pas la distinction entre Juifs et sionistes.»
«L’argumentation politique et sa terminologie étaient embrouillées, peu claires et, par moment, choquantes pour les lecteurs,» écrivait-il. « Ces gens [ceux qui ont lancé une campagne contre le journal]ne voyaient pas un plaidoyer pour Carter – qu’on l’aime ou pas – ils ont été irrités par les connotations qu’ils considéraient empreintes de préjugés et de mauvais aloi. De cela, je m’excuse sincèrement.»

Mais Bernstein pense que les excuses étaient à côté de la plaque ; «Ca sonne assez comme une échappatoire,» dit-il. «Il s’excuse auprès des gens qui ont été offensés ; il ne s’excuse pas pour le caractère offensant du texte.»

Tactique

Les problèmes du Coastal Post ont continué en 2009. Depuis le début de l’année, Gerardo Joffe a écrit cinq lettres demandant instamment à des commerces de cesser de placer des encarts publicitaires dans le journal. Joffe est le fondateur de Facts and Logic About the Middle East (FLAME), qui publie des points de vue pro-israéliens par voie publicitaire et des lettres aux annonceurs dans tout le pays.
Joffe explique que ses lettres reflètent ses opinions personnelles mais reconnaît que, à cause de sa position dans FLAME, les lettres ont été écrites au nom de son organisation. Au moins une de ces lettres comportait un formulaire d’annulation à envoyer au Coastal Times.
«Il est difficile de comprendre pourquoi vous, qui nous l’espérons n’êtes pas imbibé du poison de l’antisémitisme, voudriez continuer à soutenir ce genre de journal,» écrivait Joffe dans une des lettres. Vos clients actuels ou potentiels vous identifieront inévitablement avec les points de vue malsains de Deane.»

A peu près au même moment où les lettres de Joffe étaient envoyées, quelqu’un a commencé à coller des tracts sur les présentoirs du Coastal Post et à les afficher dans les commerces locaux. Les tracts pressaient les habitants de Marin de ne pas acheter le journal et comportaient des extraits de ce qui était jugé comme un discours raciste.»
Joffe n’a jamais envoyé de courrier directement au Coastal Post. « Je pensais qu’écrire à Deane aurait été inutile. D’après ce qu’il écrit, il semble camper sur ses préjugés, ses biais et ses croyances, » déclare Joffe. «Je ne serais pas capable de le faire changer de positions.»

Mais Deane maintient qu’il publie des façons de voir divergentes.
«Nous sommes heureux de présenter une variété de points de vue,» déclare Deane.
Un échantillonnage d’articles, de chroniques et de lettres à la rédaction dans 10 numéros du Coastal Post parus entre 2007 et 2009 montre que la majorité des articles étaient critiques envers la politique d’Israël à l’égard des Palestiniens, mais les lettres à la rédaction étaient majoritairement favorables à Israël.
Au total, 39 articles traitaient du conflit israélo-palestinien dont le tiers étaient favorables à la politique israélienne tandis que 2/3 critiquaient l’action de ce pays envers les Palestiniens. Dans le courrier des lecteurs, le résultat était inverse : près des 2/3 des 19 lettres étaient pro-israéliennes tandis que seulement le tiers condamnait les méthodes israéliennes.

Allen Barnett, membre fondateur de la Marine Peace and Justice Coalition avait envoyé une lettre à Deane pour critiquer des articles qui flirtaient avec l’antisémitisme. Les lettres de Barnett furent publiées.

Bernstein indique que l’Anti-Defamation League ne soutient pas les boycotts.
«De manière générale, l’ADL est opposée aux boycotts, » explique Bernstein. « Notre approche consiste d’abord à engager un dialogue avec les gens et d’expliquer pourquoi ce qu’ils font peut être porteur de haine ou de divisions et nous les encourageons à débattre et à dialoguer mais d’une manière qui est constructive et unificatrice.»
Ann Brick, juriste pour l’American Civil Liberties Union (ACLU) de Californie du Nord déclare que Dean avait le droit constitutionnel [First Amendment Right] de publier des articles et que des gens comme Joffe avaient le même droit d’appeler des annonceurs au boycott. Mais elle précise que l’ACLU soutenait la libre échange des idées. «C’est une question délicate, une zone compliquée en termes d’opinion sur la liberté de parole,» dit-elle. «L’intérêt de la liberté d’expression est probablement mieux servi en faisant en sorte que les deux points de vue soient entendus ou lus, plutôt que par des tentatives pour faire taire une des parties au débat. Plus d’expressions est toujours mieux que moins d’expressions.»
Tendances

The Berkeley Daily Planet, un hebdomadaire gratuit, a récemment vécu des campagnes de boycott similaires à celle du Coastal Post.

« Quelques individus d’East Bay menacent de ruiner le Berkeley Daily Planet à moins qu’il cesse de publier des critiques de la politiques israélienne et des campagnes d’opinion et des idées qu’ils taxent d’antisémites, » écrivait en juin le journaliste Richard Brenneman dans un article.
Les annonceurs du Daily Planet avaient reçu plusieurs lettres d’un homme nommé John Sinkinson, un dirigeant de FLAME. Joffe affirme que les lettres n’étaient en aucune manière coordonnées.

«La capacité des boycotts organisés à détruire des journaux n’a jamais été aussi forte dans l’histoire, » explique Brenneman. «On se demande combien de journaux rejettent automatiquement tout ce qui peut être considéré comme critique.»Le Daily Planet avait effectué sa propre étude du courrier des lecteurs, des chroniques et des commentaires pour jauger l’importance et la tendance da sa couverture du conflit israélo-palestinien.

Sur 36 numéros parus entre le 2 juin 2006 et le 7 mai 2009, l’étude a constaté que sur un total de 869 lettres, 49 portaient sur Israël. Parmi ces dernières, 34 étaient critiques envers Israël tandis que 15 étaient favorables au gouvernement israélien.
Deane a récemment contacté le professeur Peter Phillips de l’université d’Etat de Sonoma et directeur de Project Censored. Ce projet promeut la liberté d’expression dans les médiats et a conduit plusieurs études de partialité. Deane voudrait que Phillips étudie s’il existe une plus largement tendance à s’attaquer aux journaux parce qu’ils critiquent Israël.
«Il est possible que nous nous penchions là dessus,» déclare Phillips. Mon point de vue est que toute interférence avec la libre circulation de l’information dans la société est une censure. »

Dean explique que la controverse autour du Coastal Post a été intéressante pour lui. « Je n’en reviens pas que moi-même et le journal ayons été accusés en termes de racisme et de préjugés,» dit-il. «Si vous allez au delà de la réaction personnelle que vous pouvez avoir devant quelque chose qui est nébuleux et difficile à distinguer clairement, et que vous commencez à considérer les implications plus larges du 1er amendement et du droit que les gens ont de lire ou d’écrire, ça devient plus important. S’il est question d’un seul journal, c’est une anomalie. Si c’est deux ou plus, alors c’est quelque chose qui doit nous inquiéter.»

6 commentaires:

  1. Bernstein, c'est pas celui qui a traité Dieudonné de sale nègre et à la télé ? Il ferait mieux de balayer devant sa porte ...

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  2. vas t'occuper de dénoncer les océabns de merde qui couvrent ton pays de khra"Un Djazaïri de Vénissieux



    Donc un étranger en France
    un de ceux qui étaient victimes de Ratonnades ...

    alors qu'est ce que tu fous içi??

    vas donc d'occuper des montagnes de khra qui couvrent ton pays avant de venir baver sur les juifs qui te pissent a la raie et ont bien fait d'emporter tout l ' or de l ' algérie,leur or,pour permettre a Israel nde casser la gueule a tes congénères

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  3. Un citoyen franco-israélien attaque l'Union Européenne en justice, suite à des dégâts sur sa maison causés par une roquette du Hamas.
    Les avocats israéliens et belges agissant pour M. Eyal Katorza préparent aussi une injonction exigeant que l'UE fasse plus pour protéger les 300 000 ressortissants européens vivant en Israël :

    http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/middleeast/6004593/Israeli-seeks-damages-from-EU-over-Hamas-rocket-attacks.html

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  4. Tu ne sens pas une certaine chaleur a tes fesses ??

    ça vient...ça vient...

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  5. Djazairi, ton blog est fantastique. Original et en outre, tu es un bon traducteur. Tu ne peux pas nous balayer les connards ci-dessus ?

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  6. Merci du compliment. Je laisse passer certains commentaires des connards en question pour qu'ils soient, ainsi que d'autres,en mesure de contempler la qualité de ce que leurs cerveaux produisent, c'est-à-dire de la haine et de la merde.

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